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dimanche 22 septembre 2013

Contradiction féminine


Les féministes dénoncent l’inégalité des salaires hommes-femmes comme une injustice, mais ne prennent pas en compte le temps supplémentaire que les hommes passent au travail et leur productivité horaire.

La plupart des hommes savent qu’un bon statut social est un atout majeur pour séduire une femme, c’est pourquoi ils s’impliquent beaucoup dans leur profession, et obtiennent généralement des postes plus élevés que leurs collègues féminines. En contrepartie, ils acceptent de vivre avec une femme qui gagne moins d’argent qu’eux, ce que peu de femmes sont prêtes à faire.


Mise à jour du 23/09/2013 : Suite à la relecture de l’article et à certaines réactions d’internautes, je vais développer mon propos ci-dessous afin de mieux me faire comprendre.

L’écart salarial entre les hommes et les femmes s’explique par plusieurs facteurs :

La majorité des mi-temps sont réalisés par des femmes (qui travaillent également de manière non salariée à la maison, en se consacrant au foyer), et les hommes effectuent plus fréquemment des heures supplémentaires. Il existe aussi des différences liées aux secteurs d’activité : les hommes sont plus nombreux à travailler loin du foyer, à exercer des métiers dangereux et des postes à responsabilité. Leur carrière n’est pas entrecoupée de grossesse et de congé maternité, ce qui leur permet d’être promu plus rapidement.

En général, les hommes s’investissent plus dans leur profession que les femmes, ce qui est normal puisqu’elles s’occupent souvent des enfants, ils possèdent donc de meilleurs emplois et sont mieux rémunérés. 

Dans la sélection naturelle, les femmes sont à la recherche d’un mâle dominant, c’est à dire d’un homme fort avec qui elles pourront élever leur progéniture dans la sécurité et le confort. Elles sont donc intéressées par le salaire de leur conjoint, ce qui n’est pas un défaut mais une exigence importante pour le développement des enfants, et préfèrent généralement vivre avec un homme qui gagne plus d'argent qu'elles.

Le féminisme moderne méprise le rôle biologique de la femme, et veut en faire un homme comme les autres, sans tenir compte des ses aspirations naturelles.

3 commentaires:

  1. Vous défendez ici un point de vue misogyne nietzschéen ; de fait, le mépris du rôle biologique de la femme est un emprunt au christianisme, dont la spiritualité est antisociale, et par conséquent antisexuelle. L'idée de "liberté sexuelle" est une ruse libérale grossière.
    Autrement dit, le christianisme ne tient aucun compte de la différence biologique sexuelle, mais en aucun cas il ne propose de fonder un ordre social nouveau sur l'égalité des sexes. Il n'y a dans cette dernière tentative qu'un "complot de pharisiens et de veuves", selon les termes évangéliques, accompli dans les temps modernes par l'Eglise catholique romaine et son clergé, avant de muter en "éthique laïque républicaine" après la ruine de l'Eglise romaine.
    - Le plus intéressant à observer, c'est que l'idéologie totalitaire est toujours construite sur ce schéma, à savoir : un élément de logique chrétienne évangélique, auquel on assigne un but moral ou politique, alors même que cette méthode est condamnée par Jésus-Christ (Mon royaume n'est pas de ce monde.) et qualifiée de "fornication".

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    1. L’indifférenciation des sexes et de leurs rôles sociaux au nom de l'égalité est une arnaque intellectuelle. Les architectes du système nous imposent leurs idéologies destructrices, en les présentant comme des progrès pour l'humanité, afin de mieux nous dominer.

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  2. " En contrepartie, ils acceptent de vivre avec une femme qui gagne moins d’argent qu’eux, ce que peu de femmes sont prêtes à faire."

    Faux. Il y a de plus en plus de mecs qui se retrouvent au foyer, par choix ou par contrainte (chômage, maladie...) et bien que la plupart des nanas n'acceptent pas ce genre d'hommes, certaines sont satisfaites dans cette position car elles ne pensent qu'à leur carrière ou briller socialement comme leur ont appris les féministes, si tant est qu'elles ne le sont pas elles-mêmes

    D'ailleurs c'est pour satisfaire l'égo de certaines que le congé paternité a été créé. Ce congé ne sert à rien puisque l'homme n'est pas biologiquement capable de donner l'affection, les soins et la nourriture au gamin. Donc non seulement ce n'est pas conforme à la nature mais aussi à la symbolique qui en est dérivé. Sans parler que celà empiète sur le libre arbitre des hommes, et par conséquent va à l'encontre de l'égalité des sexes. Au nom du "soulagement" de ces pauvres petites natures, sans méchant jeux de mots.

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